Quand la pourriture de la planète m'étouffe, quand la terreur de l'avenir m'étrangle, quand une nuit universelle me noie, je me dis : "Le monde n'existe qu'en tant que nous le pensons. Je suis le tonneau qui gâte le vin. C'est moi qui pourris le vin puisque je le sens".
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Info: Lettres à votre fils qui en a ras-le-bol
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