Bref, confier la surveillance de la Bourse à la COB, c'est un peu comme si on avait demandé à une troupe de majorettes d'assurer la protection de l'or de la Banque de France face à une horde de braqueurs surarmés bénéficiant, de surcroît, de multiples complicités dans la place.
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Info: Argent public, fortunes privées : Histoire secrète du favoritisme d'Etat
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