Je comprends fort bien les gens qui, réfugiés en Suisse, ont besoin de réconfort. Pour moi c'est l'inverse : le quadrillage social fin, les bouffes diverses où tout le monde s'en met plein la cravate, les box à prostituées aseptisés de Zurich, le confort social, les réglementations, normes... Tout ceci m'étouffe. A 56 ans je ne devrai pas, je sais.
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Info: 8 septembre 2013
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