Mais s'il s'agit de psychodrames, alors ils [les critiques] ne jurent plus que par les audaces du transbouleversant génial Lawrence... la bravoure inouïe de ses messages sexuels... (une pauvre bite de garde-chasse pour 650 pages) de ses prémonitions mondiorénovatrices... de ses tortures inspirationnelles... de ses déboires trans-médullaires... ses retournements matrimoniaux... L'était-elle ? L'était-il ? ... En était-elle ? En était-il ?
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Info: Bagatelles pour un massacre, sur D. H. Lawrence
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