survie

...on était toujours fauchés. Arrivée la fin du mois, on était à court de tous les trucs essentiels qui rendent la vie tolérable - confiseries, glaces et cigarettes - et je me mettais à insinuer à Dee qu' il serait peut-être temps de vendre un peu de sang. C'était le seul type de travail que j'arrivais à lui faire faire. Le mien ne valait rien à cause de mon hépatite, mais celui de Dee était AB négatif et encore sans pathogènes, alors les techniciens l'accueillaient à bras ouverts.

Auteur: Pollock Donald Ray

Info: Knockemstiff

[ misère ]

 

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