Les puissants ont vite compris que le peuple avait besoin d'un sentiment de liberté et non d'une réelle liberté pour accepter toutes les souffrances qu'on lui inflige. Les élections ne sont qu'un leurre de cette prétendue liberté. Car tu sais, aussi bien que moi, que peu importe le gagnant, le sort des pauvres gens ne changera pas pour autant. L'argent restera toujours dans les mêmes mains.
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Info: Charité bien ordonnée
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