Comment Te louerais-je, Seigneur, Toi qui sans naissance, sans demeure, surpasses toute connaissance mondaine et dont le domaine échappe aux cheminements de la parole.
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Info: Hymne à la Réalité absolue, Catuhstava, sqq. 1, cité et traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.196- spiritualité
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