La politique, pour lui, c'était un peu comme une chouette cabane dans les arbres : une fois à l'intérieur avec les petits caïds du voisinage, il suffisait de retirer l'échelle pour laisser en bas tous les crétins.
Auteur:
Info: Ténèbres prenez-moi la main, trad. Isabelle Maillet, p.94, Rivages/noir, n°424
Commentaires: 0