Cet unique instant, impérissable, indivisible, c'est là que naissent les Bouddhas victorieux.
L'esprit fixé dans le Grand Souffle, alors s'arrête le souffle dans le corps.
Les sens divins éveillés, alors s'éteignent ceux du corps.
Détruit est le domaine de la nature ; voici que s'ouvre le domaine divin.
Ô Roi suprême ! Plus rien ne m'est caché, tout s'ouvre à ma vue.
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Info: Le Sekoddesatika, cité et traduit par André Padoux, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.317
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