oppression

Mais le pire en ce monde, ce n'est pas de vivre seul, non, Dona. On trouve partout de la compagnie. Le pire, c'est de savoir qu'on ne vaut rien, qu'on ne sert qu'à se louer, de patron en patron, comme une bête de somme. C'est pour cela qu'on se met à boire. Pourquoi être bon, être un être de confiance, prêt à tous les boulots ? Pout que le maitre vous écrase encore plus, pour qu'il vous presse encore plus comme un citron... Tout au plus, il vous donne un cruzado supplémentaire par journée... Les flemmards, on les épargne davantage?

Auteur: Queiroz Rachel de

Info: João Miguel

[ alcool ] [ esclavage ] [ désespoir ]

 

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