On arriva dans cette ville par une pente si raide et si encaissée, dans une partie dont la surface glacée avait été si polie par la quantité d'hommes et de chevaux qui y avaient glissé, que nous fûmes obligés de faire comme tout le monde, de nous asseoir et de nous laisser glisser sur le derrière. L'Empereur dut faire de même, les mille bras qu'on lui offrait ne présentant aucune solidité.
Auteur:
Info: En traîneau avec l'Empereur
Commentaires: 0