Mettons de côté l'aliénation. Si vous demandez à ces jeunes filles qui descendent du trottoir et sont probablement des dactylos qui retournent au bureau : "Vous vous sentez aliénées? ", elles vous diront: " Nous nous sentons fatiguées." Posez la même question à cet homme qui est perché là-haut au volant de cet autobus, vous aurez la même réponse, et peut-être qu'il ajoutera: "Même s'ils me payaient dix fois plus, ce serait toujours une vie de chien." Maintenant, le véritable problème, le voici : le poids du travail, son caractère pénible, qui fait qu'on le ressent comme une condamnation, quand finira-t-il? Trouvera-t-on la quadrature du cercle, un genre de travail qui ne puisse pas dans les réserves vitales? C'est comme parler de morts-vivants, une contradiction dans les termes!
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Info: Le communiste
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