Au Brésil, les Munduruku imitent la quantité en accordant une syllabe supplémentaire à chaque nouveau nombre : un se dit pug, deux se dit xep xep, trois se dit ebapug, et quatre, edadipdip. Dans ces conditions, on comprend qu'ils n'aillent pas au-delà de cinq.
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Info: L'éternité dans une heure
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