J'ai lu de ce même M. Freud, il y a quelques années, un travail sur Le Rire. C'est fort incomplet. Il manque une sorte importante du Rire. Celui dont on est pris à la lecture de ces pauvretés prétentieuses, lesquelles naturellement, à notre époque de jobardise, ont trouvé des adeptes hommes et femmes, heureux de se distinguer en "glosant" sur cette "nouveauté".
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Info: Le théâtre de Maurice Boissard, Mercure de France 1988 <p.1721>
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