Les patries en tout genre et leur cortège de vieilleries me dégoutent au dernier degré. Tout cela n'est qu'un repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres. Parler patois, danser au rythme des bourrées, marcher au son des binioux... Tant d'épaisse sottise m'écoeure.
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Info: le globe et l'idéologie française, 1981, p 212 216
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