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On a même montré des différences de l'activité du cerveau selon la langue alphabétique de personnes qui lisent. Par exemple, ceux qui lisent l'anglais exploitent davantage les aires du cerveau associées au déchiffrage des formes visuelles que ceux qui lisent l'italien. Cette différence provient, croit-on, du fait qu'en anglais, il y a une grande différence entre la façon dont les mots s'écrivent et celle dont ils se prononcent, alors qu'en italien, ils ont tendance à s'écrire exactement comme ils se prononcent.

Auteur: Carr Nicholas

Info: Internet rend-il bête ? : Réapprendre à lire et à penser dans un monde fragmenté

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