L'opposition entre grands écrivains et moines est en effet profonde. Ceux qui assument les plus hautes charges administratives, tout en écrivant discours et panégyriques à l'empereur, sont souvent encore de croyance païenne, tel l'historien Zosime ou le poète Claudien. Leur religion de la culture les met en porte à faux avec les écrivains chrétiens que l'on appelle les Pères de l'Église et tout particulièrement les partisans des moines qui vantent la docte ignorance et méprisent les belles-lettres.
Auteur:
Info: Clovis
Commentaires: 0