Quel niveau de souffrance un enfant doit-il avoir subi pour que l'on puisse parler de résilience? Les essais et les autobiographies sur la résilience sont pleins d'histoires d'orphelins, d'enfants incestés ou gravement maltraités, etc. Mais qu'en est-il des situations moins lourdes, de ces enfants qui n'ont apparemment manqué de rien... sinon de vraie tendresse, c'est-à-dire de l'essentiel? Or le manque d'amour fait encore plus de mal que les coups.
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Info: Guérir de son enfance
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