ouverture

J'admire Lessing parce que c'était un penseur sans doctrine et un savant sans école. (...)
Je l'admire parce qu'il ne rejetait pas les rêves ni les contes de fées, mais qu'il les accueillait comme des instruments pour libérer l'humanité du joug des rationalistes plus déterminés.

Auteur: Feyerabend Paul

Info: Dialogues sur la connaissance

[ philosophie ]

 
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