Ma chérie, tu es toute aimable, toute charmante, toute adorée ; mais vois-tu, tu serais-là à mes côtés, je verrais ton doux et beau sourire qui m'enivre d'amour, et ce tendre regard qui appelle si fort mes baisers, tu m'en offrirais sans compte et sans mesure, tu me prodiguerais tous les dons de ta tendresse, que je te dirais : Ma douce et belle, donnes-en-moi encore et toujours, tu es l'âme de mon âme.
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Info: Lettre à Sophie Ruffei, le 1er avril 1779
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