Dans ses fonctions putassières Blandine va découvrir peut-être l'essentiel de ce qui différencie profondément l'homme de la femme question sexe. L'homme semble agir par crise, il se met alors dans un état second, plus rien ne peut le retenir jusqu'à ce qu'il aille jusqu'au bout de son éclatement, et ensuite, il se calme, il tire un trait. Il s'est "dédoublé"... ça explique peut-être le mystère autour des crimes sexuels. Ces hommes qui peuvent vivre en bons pères de famille, bureaucrates ou commerçants sans histoire, et qu'on découvre un jour vampire de Düsseldorf, boucher de Hanovre ou Jack l'éventreur.
La sexualité féminine plus passive bien sûr est beaucoup plus diffuse... rarement sujette à des crises.
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Info: Madame de Saint-Sulpice, Editions du Rocher, pp 141 et 142, à partir des mémoires d'une taulière de bordel pour écclésiastiques
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