banlieue

Ce passage me rend triste, car les insultes du camelot, je les ai déjà entendues souvent, envers moi, ou envers d'autres. Chez l'épicier, ou chez le fleuriste qui disait, un jour qu'il faudrait nettoyer les rues au lance-flammes pour exterminer la vermine et la racaille. Il parle des étrangers et pense qu'on ne peut pas comprendre parce qu'on est jeunes. Au contraire ces mots font un bruit incroyable.

Auteur: Kalouaz Ahmed

Info: Les lampadaires du parc, p 69

[ racisme ]

 

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