Les mots que j'invente, les poèmes que j'écris dans mon cahier me donnent de l'assurance, m'épargnent, je crois, les mauvaises rencontres. Je sais que chez Amok et les autres les mots d'échange n'existent pas, ou si peu. Les gestes tendres encore moins. Les paroles de leurs parents, à ce qu'ils disent, sont des cris qui gercent la peau et les coeurs.
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Info: Les lampadaires du parc
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