(...) Et la brusque lueur de l'éclair dans la nuit,
Les branches du poirier qui craquent au jardin,
Les ailes du hibou craintif, frappant la vitre,
Tu penseras que c'est mon âme qui revient.
Il n'y a pas de lieu, il n'y a pas de jour,
Que nous ayons pleuré ou nous soyons réjouis,
Où partout je ne sois près de toi, et toujours:
De mon âme partout j'ai laissé le débris.
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Info: Ballades et romances
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