Non, certes, jamais aucun autre site de la terre ne m'a ensorcelée, charmée autant que les solitudes mouvantes du grand océan desséché qui, des plaines pierreuses de Guémar et des bas-fonds maudits du chott Mel'riri, mène aux déserts sans eau de Sinaoun et de Rhadamès.
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Info: Ecrits intimes
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