Dans la pensée bouddhiste, l'enfant qui meurt est celui qui n'a plus besoin d'apprendre, celui qui a atteint le Nirvana...
Cela m'a soulagée pour un temps, comme un joli conte de fées.
... Un jour donc, j'ai compris que le bonheur d'avoir eu cet enfant était plus important, malgré tout, que la souffrance de l"avoir perdu".
Auteur:
Info: De Vous à Moi
Commentaires: 0