génocide

Je me suis efforcé, et j'ai pu le faire, de tirer seulement sur les enfants. Il se trouve que les mères tenaient leurs enfants par la main. Alors, mon voisin abattait la mère et moi l'enfant qui lui appartenait, car je me disais qu'après tout l'enfant ne pouvait pas survivre sans sa mère. C'était, pour ainsi dire, une manière d'apaiser ma conscience que de délivrer ces enfants incapables de vivre sans leur mère.

Auteur: Browning Christopher R.

Info: Des hommes ordinaires : Le 101e bataillon de réserve de la police allemande et la Solution finale en Pologne

[ justification ]

 

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