Je sus alors, avec une certitude absolue, la raison de ma tristesse. Il s’agissait pour moi d’un sentiment périodique, un sentiment que je ne cesserais d’oublier jusqu’à ce que je prenne à nouveau conscience de la même réalité : la petitesse de l’humanité par rapport à l’immensité de cette chose en soi que j’avais vu se refléter dans le miroir.
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Info: Le feu du dedans
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