C'est bête à dire mais il n'y a aucun mot pour désigner des parents qui ont perdu leurs enfants. On pleure son conjoint lorsqu'on est veuf. On pleure ses parents lorsque la vie fait de nous des orphelins. Quand on survit à la chair de sa chair, on n'est rien. Même le vocabulaire est impuissant. (Voir ici)
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Info: 11 juin, p. 185.
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