Le nez qui s’offense des forts parfums du con n’est pas un nez fait pour ce monde, et devrait plutôt renifler de l’or sur les trottoirs récurés du Paradis. Le vagin embaume la vie et l’amour et cætera. O vagin ! Ton encens salé, ta fauve odeur de champignon lunaire, tes profonds relents de miel de crustacé qui se brisent comme des vagues contre l’acier froid de la civilisation ; vagin, fais besogner notre nez dans l’extase, et laisse-nous mourir en respirant les mêmes odeurs qu’à notre naissance !
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Info: Même les Cow-Girls ont du vague à l'âme
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