pudeur

Parfois, elle avait l’impression qu’elle était déjà morte... Mais lorsque Zouleikha s’approchait des latrines improvisées dans un coin de la cellule, qui consistaient en un grand seau de fer-blanc sonore, et qu’elle sentait ses joues brûler de honte, elle comprenait soudain qu’elle était encore en vie. Les morts ne connaissent pas la honte.

Auteur: Iakhina Gouzel

Info: Zouleikha ouvre les yeux

[ gêne ]

 

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