Lorsque je rentrais à minuit passé, parfois gorgé du sang de mes victimes, j'effaçais toute trace suspecte de mes mains et de mes vêtements. Au retour de ma femme, nous discutions tranquillement de notre journée de travail, de nos voisins, avant de nous endormir côte à côte. Je ne faisais jamais de mauvais rêves et mes nuits n'étaient jamais troublées par le manque de sommeil.
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Info: Extrait d'une lettre du vampire de Düsseldorf à son psychiatre Karl Berg
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