Lorsque les circonstances l’exigeaient, les religions et les croyances ne dédaignaient pas les violences. Elles traînaient un lourd passif de massacres et de guerres sanglantes sans que le bonheur de l’homme en découle. Il y avait toujours des fondamentalistes, des extrémistes ou des fous de Dieu persuadés d’accomplir une sainte mission pour exécuter la sale besogne.
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Info: Quelques bonnes raisons d'aimer la mort, p. 196 POINT FINAL ?
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