Outre l'amour pour le Brésil, il partageait avec Bernanos la fascination de l'errance, la nostalgie d'un paradis perdu-pour lui, la Vienne cosmopolite du début du siècle, pour Bernanos, l'ancienne France chrétienne. Une même détestation pour le fascisme et le stalinisme les rapprochait. En matière littéraire, lui, l'écrivain des ardeurs sentimentales, se sentait des proximités avec le "prophète du sacré". Comme Bernanos, il considérait La Comédie Humaine comme l'expérience littéraire la plus aboutie et voyait en Dostoïevski un maître absolu.
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Info: Les derniers jours de Stefan Zweig, p. 142
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