Les yeux d’une morte M’ont salué, Enchâssés dans un visage stupide Dont tous les autres traits étaient banals, Ils m’ont salué Et alors je vis bien des choses Au-dedans de ma mémoire Remuer, S’éveiller. Je vis des canards sur le bord d’un lac minuscule, Auprès d’un petit enfant gai, bossu.
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Info: Poèmes, traduction Pinson Michèle, Sartoris Ghislan, Suied Alain
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