Partir à cheval en enfreignant le règlement, s’enfuir par une nuit de pleine lune et de mystère portés par l’aventure, entraînés par le rythme des sabots, et, en arrière-fond, le craquement du cuir et la voix de Johnny Cash qui pleurait Don’t take your guns to town…, pour des garçons de leur âge cela avait un goût de vin et de pastèque, l’ivresse d’un premier baiser, l’excitation d’un feu d’artifice, le baume du délice.
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Info: Bénis soient les enfants et les bêtes
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