Alors que le vent expirait dans un cul-de-sac du canyon et que, dans son sillage, l'air devenait calme et immobile, les arbres continuaient de bouger. Ils frémissaient encore sous l'effet des rafales disparues, le murmure du deuil. Ils étaient tristes. Ils semblaient pleurer le souvenir du vent.
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Info: Bénis soient les enfants et les bêtes
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