Ce qu’on peut modifier, c’est le rapport de cette souffrance au monde de la représentation. Elle n’est souffrance que parce qu’elle tente de se représenter à elle-même et donc aux autres ; si elle se détourne du miroir, la souffrance se change en force. […] L’affect dans son auto-affection n’a plus besoin de la représentation ni pour lui-même ni pour les autres. Il est sorti du théâtre où il se complaisait.
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Info: Comment faire rire un paranoïaque?
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