En classe, au collège, les rédactions avaient pour énoncé nos sujets d'étude et vérifiaient notre niveau d'apprentissage. Nous nous en tenions à un italien officiel, rigide comme un formulaire.
Sans pouvoir me l'expliquer, il me dégoûtait.
La langue embaumée faisait partie d'une soumission générale au pouvoir adulte. Pendant la récréation, on se défoulait avec le dialecte, une échappatoire. On se rinçait la bouche avec le napolitain.
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