Ses ouvrages étaient éparpillés dans la pièce ou bien serrés comme des sardines sur les étagères où Dee les empilait à la fois horizontalement et verticalement. D'autres formaient des piles irrégulières le long des plinthes, sur les larges rebords des fenêtres et sur le manteau de la cheminée. On trouvait même des livres nichés comme des chats dans les coussins du canapé aux contours dentelés.
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Info: Sous la terre des Maoris
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