L’essence de la liberté, même chez l’homme, ne consiste pas à produire des mouvements sans raison ou à "faire ce qu’on veut" ; elle consiste à disposer d’un domaine dans lequel une infinité de possible virtuels transparaissent simultanément, dans lequel l’espace-temps n’est pas un réseau de points-instants liés de proche en proche, mais une forme-idée, dans lequel par suite il y a de véritables actions, et non de purs fonctionnements, des actions selon une norme, utilisant les possibles virtuels comme moyens.
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Info: Néo-finalisme, page 170
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