La théorie du progrès […] était nouvelle, et, du point de vue chrétien orthodoxe, hérétique. Pour l’orthodoxie, l’homme était un être déchu, et l’humanité, si tant est qu’elle ne se détériorât, était statiquement mauvaise, d’un mal que la grâce seule, avec la coopération du libre arbitre de chaque individu, pouvait mitiger.
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Info: Les portes de la perception
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