Certes, des nazis ont empruntés quelques-uns des préjugés de Gobineau. Ils s’en sont réclamés. Mais celui-ci ne voulait en rien sauver le monde. A ses yeux, le déclin de l’humanité était inexorable, et il s’en réjouissait. Nulle part il n’écrit en faveur d’une race nouvelle, pure.
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Info: Manifeste incertain, tome 4
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