Quand j’eus vingt ans, c’est chez Paul Mariéton, à Paris, dans son rez-de-chaussée obscur de la rue Richepanse, bondé de livres et de lettres qu’il attribuait confidentiellement à des couples d’amants célèbres, ou à la solitude amère d’Alfred de Vigny et de Barbey d’Aurevilly, que je rencontrai pour la première fois, pendant quelques instants (car nous fûmes comme effrayés l’un par l’autre), Maurice Barrès.
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