Norman n’était pas sûr d’avoir jamais senti une horreur pareille sauf peut-être la fois où il avait été appelé par son ami Brook pour déboucher les toilettes de son gîte, obstruées par le passage de toute une palanquée de touristes français. Un remugle de "viande pourrie marinée longuement dans de l’eau de mer, parfums froid du fer, acide du pet rance et coulant de l’iode, le tout enfermé dans une boîte en plein soleil pour la faire macérer", ce furent ses propres mots pour le décrire par la suite.
Auteur:
Info: Le signal
Commentaires: 0