Le public l’a avalé d’une bouchée et les critiques, croyant tenir quelque chose de subtil, les ont encouragés sans se poser de question, mais Faulkner très souvent c’est de la merde, enfin de la merde intelligente, bien sapée, et quand il sera mort, ils auront du mal à lui cirer les pompes parce qu’ils ne comprennent pas tout à fait, et ne le comprenant pas, les parties lourdes et ennuyeuses, la quantité d’italiques, ils mettront ça sur le compte du génie.
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Info: Dans "Sur l'écriture", lettre à Jon Webb, fin juillet 1961
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