La croyance doit donc être située dans un double mouvement contradictoire : d’un côté, nous l’avons vu, elle atteste le consentement à une perte de totalité et est donc reconnaissance du manque ; de l’autre, elle manifeste un effort imaginaire pour récupérer ce dont on se suppose privé et qu’un Autre détiendrait. La croyance dit toujours le "oui" et le "non" à la castration de l’Autre.
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Info: Dans "Lacan et le christianisme", page 43
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