Quelle que soit la volonté du sujet et son désir propre, il y a quelque chose qui s’impose à lui malgré lui, avec lui et sans lui, comme un clivage entre le vouloir et le faire. […] Finalement, il ne s’agit ici pas d’autre chose que de l’inconscient en tant qu’il est une structure de la détermination subjective qui fait le destin propre à chacun, c’est-à-dire la façon dont nous sommes pris dans le discours de l’Autre.
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Info: Dans "Lacan et le christianisme", page 139
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