Autrement dit, l’amour (ou la santé) dans la pornographie, ne constitue qu’une possibilité de jouissance parmi une infinité d’autres lui étant étrangères. L’amour n’est qu’un goût. Il n’est ni la fin de la sexualité, ni sa forme la plus achevée : il n’est qu’un item anonyme et sans privilège dans une liste comptant une infinité d’autres items anonymes et sans privilège. On peut aimer l’amour – comme on peut s’en ficher.
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Info: Dans "Contre l'érotisme", page 52
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