Qui peut encore s’appuyer sur un "réel" ? En appeler à un "imaginaire" ? Prétendre distinguer entre du "vrai" et du "faux" dans la demi-nuit des faux-semblants du "second degré", de la fausse dérision sanctifiée et de l’escroquerie intellectuelle canonisée par ses bons sentiments même ? Autant vouloir différencier une voie piétonne d’une galerie de néo-musée aseptisée. Ou un centre-ville rénové de ses aires de loisirs périphériques.
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Info: Dans "Exorcismes spirituels I - Rejet de greffe", pages 29-30
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